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• 17 mai 2024

Mai est le Mois de sensibilisation à la santé mentale, et la TD profite de l’occasion pour mieux faire connaître les enjeux liés à la santé mentale afin que les collègues se sentent à l’aise de parler de leur parcours dans le respect et la bienveillance. Voici deux collègues de la TD qui font part de leurs témoignages dans l’espoir d’inspirer le changement et d’aider les autres à être plus ouverts à l’égard de ce sujet important.

Plus jeune, Tracy Hepburn avait des difficultés à l’école.

À l’époque, elle ne comprenait pas pourquoi elle semblait avoir plus de mal à être attentive que les autres enfants. Elle était malmenée par ses camarades de classe parce qu’elle était différente. Elle se souvient que ses enseignants la qualifiaient de « perturbatrice » et qu’elle se faisait souvent sortir de la classe parce qu’elle dérangeait ses camarades. Ce n’est qu’en huitième année que l’un de ses enseignants a découvert que Tracy ne savait pas lire. De là, elle a reçu un diagnostic de dyslexie.

Ce que Tracy ne savait pas à l’époque, et elle devra attendre d’avoir la trentaine pour le découvrir, c’est qu’elle avait des problèmes de santé mentale non diagnostiqués qui étaient la cause de son manque de concentration et de ses problèmes de comportement à l’école. En fait, ce n’est qu’à l’âge adulte, alors qu’elle travaillait à la TD, que Tracy a officiellement reçu un diagnostic d’anxiété, de dépression, de trouble bipolaire et de trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

« À l’époque, je pensais que j’étais une mauvaise élève et je ne comprenais pas pourquoi je n’arrivais pas à être au même niveau que celui de mes camarades. Je ne me rendais pas compte que j’avais besoin d’aide », explique Tracy.

Aujourd’hui, Tracy occupe le poste d’agente, Activités opérationnelles, à Port Stanley, en Ontario, une petite collectivité située à l’ouest de Toronto sur les rives du lac Érié. À la TD depuis 19 ans, elle a travaillé dans plusieurs secteurs, notamment la prévention des pertes et les cartes de crédit. Avant d’entrer au service de la TD, Tracy a principalement travaillé à des postes de service à la clientèle.

Tout au long de sa carrière, Tracy déclare qu’elle avait souvent l’impression de faire semblant jusqu’à ce qu’elle réussisse, mais qu’elle ne s’était jamais sentie à l’aise pour demander de l’aide pour ses problèmes de santé mentale. Après plusieurs années de travail à la TD, elle a fait le premier pas pour obtenir le soutien dont elle avait besoin en consultant un programme d’aide aux employés où elle a trouvé un éventail complet de ressources et d’outils qui l’ont aidée.

« Il n’y a pas eu d’incident particulier qui m’ait incitée à franchir ce pas, déclare Tracy. J’avais simplement l’impression croissante que quelque chose n’allait pas au niveau de mon état mental et que j’étais à un moment de ma vie où j’étais prête à agir et à obtenir de l’aide. »

Tracy a choisi de donner la priorité à sa santé mentale. Bien qu’elle ait éprouvé une certaine réticence à l’idée de s’éloigner du travail, elle a eu la chance de compter sur le soutien de son équipe et de son gestionnaire de personnel. Elle a recherché des traitements, des outils et des médicaments qui ont fonctionné et qui ont contribué à améliorer les choses au cours des trois années suivantes.

« Je savais que je voulais reprendre le travail et j’ai fini par le faire parce que je disposais des outils nécessaires. J’ai notamment suivi une thérapie cognitivo-comportementale. Lorsque j’ai repris le travail, on m’a accueillie à bras ouverts et on s’est montré compréhensif envers moi. J’ai alors su que je devais faire part de mon expérience. J’avais besoin de faire valoir mon histoire et j’espérais aussi faire valoir celle des autres. »

Favoriser une culture d’acceptation et de soutien

À la TD, les collègues sont encouragés à faire part autant qu’ils le souhaitent de leur parcours en santé mentale afin de parfaire la compréhension de leurs collègues, et ce, dans un environnement respectueux et bienveillant, comme l’explique Erin Forbes, directrice principale, RH, Personnes ayant une incapacité à la TD.

« Dans un monde où tout est jugé à l’emporte-pièce, nous voulons que nos collègues favorisent une culture d’acceptation et de soutien où chaque personne peut s’épanouir dans sa singularité, dit-elle.

En tant que société, nous devons nous efforcer d’améliorer notre compréhension de la santé mentale et travailler à bâtir un monde plus inclusif où on peut répondre aux besoins uniques de chaque personne. »

Tracy dit qu’elle devient encore émotive lorsqu’elle repense aux difficultés qu’elle a rencontrées dans sa jeunesse, mais elle est reconnaissante à la TD de lui avoir donné les moyens d’obtenir un soutien lorsqu’elle en a eu besoin et de redonner au suivant en aidant d’autres collègues dans leur propre parcours en santé mentale. Tracy est devenue une ressource fiable pour bon nombre de ses collègues, en les aidant à trouver des ressources en matière de santé mentale, en encourageant les gestionnaires de personnel à effectuer des vérifications régulières auprès de leur personnel et en travaillant avec ses collègues pour les aider à prioriser leur bien-être mental et émotionnel.

Rechercher un sentiment d’appartenance

Lorsque Beth Josephson a commencé sa carrière il y a dix ans en tant que caissière à TD BankMD, America’s Most Convenient BankMD (AMCB), elle a travaillé pour des équipes des Services bancaires de détail et des Services bancaires commerciaux avant d’occuper son poste actuel d’analyste de projets.

Les collègues de Beth ont entendu parler de ses voyages avec son mari et sa fille, des romans à suspense desquels elle aime parler dans son club de lecture et de ses aventures avec son labrador noir Cora.

Outre toutes ces choses dont elle faisait part, la seule qu’elle cachait à ses collègues était qu’elle souffrait d’un trouble bipolaire et d’un trouble d’anxiété généralisée. Ayant reçu un diagnostic à l’âge de 16 ans, Beth se souvient qu’elle avait à obtenu son diplôme d’études secondaires de peine et de misère en raison des difficultés qu’elle rencontrait pour gérer ses problèmes de santé.

Ce n’est que lorsque Beth a découvert qu’elle était enceinte, et qu’elle ne pouvait donc plus prendre ses médicaments, qu’elle a décidé d’en parler à son entourage, à son gestionnaire de personnel et à ses collègues.

« En raison de ce que j’avais vécu dans le passé avec des collègues et certaines personnes, je ne me sentais pas à l’aise de révéler où j’en étais dans mon parcours ou mon diagnostic, car j’avais l’impression qu’on me jugerait et qu’on me stigmatiserait, et que je ne pourrais rien faire ou réussir », explique-t-elle.

Beth a révélé son problème de santé à son gestionnaire de personnel après avoir lutté pour ne pas pleurer et succomber à une crise de panique lors d’une interaction avec un client sur son lieu de travail.

« Mon gestionnaire m’a prise à part et m’a demandé : ‘‘Comment puis-je t’aider? Que se passe-t-il?’’, raconte Beth.

C’était la première fois que je révélais pleinement que je souffrais d’un trouble bipolaire. Mon gestionnaire m’a beaucoup soutenue et a travaillé avec moi pour rechercher des mesures d’adaptation qui m’ont permis d’obtenir l’aide dont j’avais besoin. On a également été en mesure de m’aider à trouver une certaine flexibilité supplémentaire pendant que je passais par ces périodes difficiles. Cela m’a permis d’utiliser mes capacités d’adaptation et de faire de mon bien-être mental une priorité. »

Beth explique que les ressources mises à sa disposition par la TD l’ont aidée à trouver un sentiment d’appartenance, à tisser des liens et à surmonter sa peur de parler de son problème de santé. Aujourd’hui, elle est plus encline à faire part de son expérience grâce au soutien qu’elle a reçu de ses gestionnaires et de ses collègues, et considère désormais que raconter son histoire est une occasion d’inciter d’autres personnes à demander de l’aide.

« Aujourd’hui, je rencontre toujours des difficultés, mais le fait de pouvoir être moi-même au travail et de savoir que j’ai le soutien de mes dirigeants et de mes collègues me donne la force de surmonter ces moments difficiles. »

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